La vallée sacrée des Incas est un périple qu’on ne peut oublier.
Se balader de ruines en ruines, être émerveillé par la beauté et l’ingéniosité des constructions de ce peuple disparu, croiser le chemin de locaux, de lamas et autres animaux de pâturage.
La flore n’est pas ce qui m’a le plus marqué lors de ma visite dans cette vallée d’altitude, mais pourtant bien présente.
Parfois il suffit juste de changer d’angle, de perspective.
Ici en levant les yeux vers le ciel alors que je marchais vers des ruines Incas, j’ai été frappé par la symétrie parfaitement imparfaite de ces arbres qui semblent vouloir entrer en communion tous ensemble.
Grandir toujours plus haut jusqu’à se confondre les uns avec les autres.
Les arbres me fascinent depuis toujours, enracinés dans le sol, les socles de notre monde, les poumons de notre planète, l’ombre et la fraicheur dont nous avons besoin.
Les arbres nous apportent tout et ne nous demandent rien, si bien que quand je me retrouve en forêt, je ressens beaucoup d’humilité de respect face à ces géants, porteurs de vie et de sagesse.